La livraison d’armes lourdes à Kiev, un défi logistique en deux temps

L’armée russe défaite par… un téléphone portable
Jusqu’ici envisagés comme un moyen de propagande, le téléphone portable et les réseaux sociaux sont utilisés par les services ukrainiens pour collecter du renseignement opérationnel qui explique les nombreuses embuscades dans lesquelles est tombée l’armée russe.
Livraisons d’armes : «Les Occidentaux se rallient à l’idée que l’Ukraine peut se lancer dans une guerre de reconquête»
Les Etats-Unis et leurs alliés occidentaux se sont réunis ce mardi à Ramstein, en Allemagne, pour organiser les livraisons d’armes à l’Ukraine. Pour le chercheur Elie Tenenbaum, cette aide est un tournant qui pourrait permettre aux Ukrainiens de contre-attaquer face à la Russie.

Vladimir Poutine, le culte de la guerre
Depuis plus de vingt ans, Vladimir Poutine a mené quatre guerres en utilisant le même subterfuge : elle n’existe pas, c’est une « opération militaire spéciale ». Jamais assumée dans les mots, la violence armée est son instrument pour se mesurer à l’Occident.

Accords militaires avec la Russie : de Madagascar au Cameroun, Moscou en "phase d'accélération" en Afrique
Madagascar, puis le Cameroun. Ce mois-ci, la signature de deux nouveaux accords militaires de pays africains avec la Russie ont été révélés. Ces signatures interrogent sur les rapprochements entre certains États du continent et Moscou.
Offensive russe: L’Est sous les bombes
Alors que le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou, réapparaît pour accuser les Occidentaux de "prolonger la guerre", les Russes bombardent intensément l’Est de l’Ukraine malgré une absence d’assaut majeur depuis le débutde l’offensive ces dernières 24 heures.
L'armée russe, une doctrine stratégique inadaptée?
« Les soldats russes se préparent. Ils veulent littéralement achever et détruire le Donbass » a redit hier Volodymyr Zelensky après que l’armée russe a bombardé à nouveau la ville de Kharkiv, plus au nord. Le message vidéo du président ukrainien est destiné à la fois à ses troupes, qu’il exhorte à tenir bon, et aux Occidentaux à qui il demande de renforcer encore leurs sanctions.

Guerre en Ukraine : pourquoi la prise de Marioupol constitue un enjeu stratégique pour la Russie
Dans ce port de la mer d'Azov, assiégé depuis plus de 40 jours, les forces russes resserrent leur étau sur les soldats ukrainiens.

Alexander Dvornikov, le «Boucher de Syrie» à la tête des opérations russes en Ukraine
Entre 2015 et 2016, ce général a sinistrement gagné en Syrie son surnom mais aussi des galons de «héros de la Russie».

« La guerre russe en Ukraine est entrée dans une nouvelle phase, militaire, idéologique et géopolitique »
La stratégie de Moscou en Ukraine marque un tournant. Les négociations sont dans l’impasse, l’offensive militaire se concentre sur le Donbass et le Sud-Est. L’acte II de la guerre s’annonce plus dur encore et les Européens n’ont d’autre choix que de s’y impliquer davantage, observe dans sa chronique Sylvie Kauffmann, éditorialiste au « Monde ».

"Des missiles russes tirés sur la Syrie depuis la mer Caspienne"
Moscou a annoncé l’intensification de ses frappes sur la Syrie, avec notamment l’entrée en action de navires de guerre stationnés en mer Caspienne. Une opération qui mêle frappes aériennes et tirs de missiles de croisière sur près de 1 500 km et qui est « synchronisée avec les actions de l’armée syrienne au sol », selon les autorités russes.

Pourquoi une intervention militaire en Syrie est impossible
Le jeu trouble de la Turquie face à Daesh
Après avoir longtemps joué un jeu ambigu face au groupe terroriste, quelles conséquences de cette intervention d’Ankara dans la lutte contre Daesh et de la reprise des hostilités contre la minorité kurde ? La Turquie a-t-elle trop longtemps fermé les yeux sur la progression de Daesh dans la région ?

État islamique, PKK : quelle guerre mène la Turquie ?
Dorothée Schmid, Responsable du programme Turquie contemporaine à l'Ifri, répond à Pierre de Vilno dans Europe Midi sur Europe 1.

L'EI et le PKK dans le viseur de la Turquie
La Turquie est sur le pied de guerre. Le pays poursuit son offensive militaire contre le PKK, le Parti des travailleurs du Kurdistan. Dans le même temps, le pays vise également le groupe jihadiste Etat islamique. Le samedi 25 juillet, la police turque a d'ailleurs procédé à des dizaines d'arrestations visant le groupe jihadiste et les rebelles du PKK, ont révélé les médias turcs.
L'interview de Dorothée Schmid, Responsable du programme Turquie contemporaine à l'Ifri, dans le Grand Soir 3.

Frappes en Syrie : pourquoi la position turque face à Daech n'était plus tenable ?
Après l'attaque lundi d'un centre culturel à Suruç, qui a fait 32 morts, la Turquie a décidé de frapper militairement vendredi le groupe terroriste Daech en Syrie. La police multiplie parallèlement les arrestations.
"La Turquie est sous la pression depuis le début de l'année de la part de ses alliés" explique Dorothée Schmid de l'IFRI, l'institut français des relations internationales. Souvent accusés de jouer double jeu avec Daech, "les Turcs se défendent d'avoir soutenu l'Etat Islamique. Mais on peut considérer qu'il y avait une sorte de trêve puisqu'ils étaient mesurés dans leurs mouvements envers l'Etat islamique."
Russia: the bear's grip falters
We should all be able to agree on a fact: despite the growing international indignation toward it, Russia’s position on Syria has remained remarkably consistent throughout the crisis there. By blocking passage of any resolution at the UN Security Council, Russia has gained both an international visibility and influence that go far beyond its means. And it is precisely this on which the Kremlin seeks to capitalize.
Faut-il intervenir en Syrie ?
Le blocage de la diplomatie russe au Conseil de sécurité des Nations unies sur l’adoption d’une résolution ouvrant la voie à une solution sur la crise en Syrie fait l’objet de vives critiques internationales. Les raisons qui poussent la Russie à faire preuve d’une telle intransigeance sur la Syrie ont déjà été maintes fois exposées.
Soutenez une recherche française indépendante
L'Ifri, fondation reconnue d'utilité publique, s'appuie en grande partie sur des donateurs privés – entreprises et particuliers – pour garantir sa pérennité et son indépendance intellectuelle. Par leur financement, les donateurs contribuent à maintenir la position de l’Institut parmi les principaux think tanks mondiaux. En bénéficiant d’un réseau et d’un savoir-faire reconnus à l’international, les donateurs affinent leur compréhension du risque géopolitique et ses conséquences sur la politique et l’économie mondiales. En 2024, l’Ifri accompagne plus de 70 entreprises et organisations françaises et étrangères.
